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En 2024, la Passion selon Saint Jean BWV 245 de Bach fêtera son tricentenaire. L'œuvre a été interprétée pour la première fois le 07 avril 1724 en l'église Saint-Thomas à Leipzig. Sa durée est d'environ 2 heures. Il s'agit de l'une des œuvres majeures de Bach.
Sous l'impulsion de la commune de Capinghem, et sous réserve de financement, la Passion selon saint Jean sera exécutée courant 2024 (la date sera communiquée ultérieurement) et permettra de faire découvrir cette œuvre, constituant un événement exceptionnel à plus d’un titre.
Exceptionnel, car l’œuvre sera interprétée par L’Ensemble Le Cénacle dirigé par Michel Laplénie, l’un des fers de lance de la musique baroque dès les années 80 / 90, aux côtés de William Christie (Les Arts Florissants, l’ensemble Sagittarius) qui a participé durant près de 30 ans à la plupart des grands festivals de musique baroque français et étrangers.
Exceptionnel également car Michel Laplénie n’a encore jamais donné un concert de tel ampleur dans les Hauts de France.
Exceptionnel enfin car nul besoin de fréquenter les grandes salles pour découvrir des œuvres interprétées par des artistes professionnels, œuvres qui ne sont pas réservées à une élite : la culture est avant tout affaire d’accessibilité, de proximité, avec des tarifs à portée de tous : plein tarif : 15 euros ; tarif réduit : 10 euros (demandeurs d’emploi, étudiants) ; gratuité pour les personnes fragilisées, personnes à mobilité réduite et enfants de moins de 12 ans (la tarification fera l'objet d'une délibération). Le prix moyen constaté est de 25 / 30 euros.
Chanteur français spécialisé d’abord dans le répertoire baroque allemand du XVIIe siècle, Michel LAPLÉNIE a révélé la richesse de la littérature musicale européenne de cette période, notamment à travers de nombreux enregistrements discographiques. Il est unanimement reconnu comme une des figures du baroque contemporain. Après des études de violon et d’allemand, Michel LAPLÉNIE se consacre définitivement au chant après sa rencontre avec William CHRISTIE.
Il participe à la création des Arts Florissants, avec lequel il travaille jusqu’en 1992, ainsi qu’à la naissance de l’Ensemble Clément Janequin, avec lequel il collabore jusqu’en 1986. En 1986, Michel LAPLÉNIE crée son propre ensemble vocal Sagittarius, du nom latinisé d’Heinrich SCHÜTZ, maître incontournable de la vocalité allemande du XVIIe siècle. L’ensemble, constitué de chanteurs professionnels à effectif variable, privilégie les petites formations, et met en valeur un répertoire de musique religieuse du XVIe au XVIIIe siècle, principalement allemande, mais aussi italienne, anglaise ou française. Michel LAPLÉNIE a dirigé Sagittarius pendant 30 ans dans la plupart des grands festivals français ainsi que dans de nombreux pays.
Fondé en 2019 par le ténor Stanislas Herbin, l’Ensemble Le Cénacle se compose de 6 à 8 chanteurs professionnels, rompus à l’art du chant a capella et au chant baroque. Le Cénacle s’est donné comme mission de rendre le répertoire classique accessible au plus grand nombre par des programmes aux effectifs et esthétiques musicales variés (du XVIe siècle à nos jours), mêlant compositions célèbres et œuvres rares, pièces en tutti, en petits ensembles ou en soli.
Le Cénacle se produit régulièrement en Normandie, sa région d’attache depuis 2021, à l'invitation de plusieurs municipalités ou établissements publics :
Placé depuis 2023 sous la direction de Michel Laplénie, spécialiste du répertoire baroque et plus particulièrement de la musique allemande des XVIe et XVIIe siècles, Le Cénacle a élargi son répertoire en proposant des programmes de musique baroque allemande (Schütz, ancêtres de Bach), italienne (Monteverdi) et française (M.A. Charpentier).
1 Évangéliste
5 solistes chantant aussi les chœurs
7 choristes
16 Instrumentistes
1 chef d’orchestre : Michel LAPLÉNIE.
Soit 30 musiciens présents sur le plateau (14 femmes et 16 hommes).
Évangéliste : Vincent LIÈVRE-PICARD, ténor.
Vincent LIÈVRE-PICARD étudie dans les Conservatoires de Tours et de Paris, puis au Conservatoire Supérieur. Il obtient dans ces trois maisons des distinctions en Chant Lyrique (Premier Prix à l’Unanimité) et en Musique Ancienne (Diplôme Supérieur avec les félicitations du jury). Il y reçoit les enseignements de Noémi Rime et Howard Crook pour la musique ancienne, d’Ana Maria Miranda et Anne-Marie Rodde pour le chant lyrique. Il étudie pendant plusieurs années avec Udo Reinemann.
À l’opéra il interprète des œuvres de Charpentier, Rameau, Mozart, Haydn, Offenbach et Carl Orff. Il a interprété Arnalta du Couronnement de Poppée (Monteverdi) sous la direction de René Jacobs, et pris part à la création du Petit Prince, de Michaël Lévinas, dirigé par Arie van Beek dans la mise en scène de Lilo Baur, dans lequel il chante le rôle de L’Aviateur, à Lausanne, Lille, au Grand Théâtre de Genève puis au Théâtre du Châtelet à Paris, puis à celle de Wilde, d’Hèctor Parra, dans le cadre du Festival de Schwetzingen, mis en scène par Calixto Bieito. Au concert, ses Évangélistes des Passions de Bach ont pris, sous l’impulsion de Michel Corboz, une résonance internationale ; il interprète en outre fréquemment des œuvres du répertoire baroque français, où il se distingue par son aigu aisé et sa connaissance du style dans les parties de « haute- contre à la française », et des oratorios de Mozart, Haydn, Berlioz, Dvorak, Rachmaninov, Orff et Britten.
Vincent Lièvre-Picard se produit sous la direction de Benjamin Alard, Jean-Marc Andrieu, Arie van Beek, Christophe Coin, Denis Comtet, Michel Corboz, Nicole Corti, Jean-Christophe Frisch, David Greilsamer, Sébastien d’Hérin, Itay Jedlin, François Joubert-Caillet, Alexis Kossenko, Françoise Lasserre, Jean-Claude Malgoire, Thibault Noally, Raphaël Pichon, Michel Piquemal, Peter Rundel ou Guy van Waas, dans des mises en scène de Lilo Baur, Calixto Bieito, Vincent Boussard, Claude Brumachon et Charlotte Nessy, et en récital en compagnie d’Aline Zylberajch, Astrid Marc, Olivier Vernet, Nicolas Bucher, Sébastien Daucé, Martin Robidoux, Florent Albrecht ou Emmanuel Olivier, avec qui il a enregistré une anthologie des mélodies de Lou Koster. Il prend part en 2019 à l’intégrale Beethoven publiée par Warner Classic pour l’année anniversaire, y interprétant une quinzaine de Lieder, une quarantaine de folksongs et une vingtaine de pièces a capella. Plusieurs sorties discographiques sont également prévues, qui viendront compléter une discographie déjà riche de plus de soixante titres, dont plusieurs ont reçu d’importantes distinctions (Diapason d’Or, Choc du Monde de la Musique, Prix Massenet de la meilleure intégrale d’Opéra Français, disque du mois de la revue anglaise Goldberg…).
En septembre 2021, Vincent Lièvre-Picard fait sa rentrée en tant qu’enseignant de chant au Conservatoire Royal de Bruxelles.
Sophie PATTEY, soliste, soprano.
Après un cursus en harpe et chant au CNR de Paris, Sophie Pattey étudia le chant avec Béatrice Cramoix, Blandine de St Sauveur, Caroline Pelon, Guillemette Laurens ainsi qu’au Département de Musique Ancienne de Paris. Elle suivit parallèlement des études de Musicologie à la Sorbonne et s’intéressa à la musique contemporaine. Diplômée en chant, harpe, formation musicale et analyse, elle compléta son cursus par un travail sur les pédagogies actives à Lyon et une préparation au CA de Formation Musicale qu’elle obtint en 1994. Elle est co-auteure de sept manuels de Formation Musicale, dont le dernier est paru en septembre 2023 : Les Aventuriers de la musique, volume 3, éd. H. Lemoine. Sophie Pattey obtient le prix de la pédagogie SACEM en 2013 et a été nommée en 2023.
Dès l’âge de 13 ans elle monta sur scène en tant que soliste dans un opéra d’Offenbach. Depuis, elle chante et enregistre avec divers ensembles vocaux dont Sagittarius (M. Laplénie), Akâdemia (F. Lassere), l’Arcal (C. Gangneron), Accentus (L. Equilbey), Les Passions (Jean-Marc Andrieu), les chants de Garonne (J.F. Gardeil), Le Triomphe de Neptune (Pascal Le François), Oratorio (Bernard Jansens), Résonances (ile de la réunion, Valérie Mathis), orchestre de Bayonne (Laetitia Casabianca)… tant en France (métropole, île de la Réunion) qu’à l’étranger (Suisse, Allemagne, Espagne, Portugal, Pays-Bas, Italie, Estonie, Chine…). Parallèlement, elle enseigne le chant et la formation musicale aux conservatoires de Taverny et Chantilly.
Léopold GILLOOTS-LAFORGE, soliste, alto.
Léopold Gilloots-Laforge travaille avec des chefs tels que William Christie, Paul Agnew, Leonardo García Alarcón, Rolland Hayrabedian, Christophe Rousset, Vincent Dumestre, Joël Suhubiette, Gaetan Jarry et Julien Leroy, des metteurs en scènes tels que Alain Françon, Rafael R. Villalobos, Lilo Baur, François de Carpentries, Karine Van Hercke, et Frédérique Lombart et des compositeurs comme Philippe Hersant, Benoit Menut, Denis Levaillant, Fred Frith et Caroline Marçot. Lauréat de plusieurs concours internationaux, dont les concours de Marmande, d'Avignon, de Bordeaux et d’Arles, il est finaliste de la première édition du Vincerò World singing Competition en 2021 et est lauréat du prix de la voix au concours de mélodie de Gordes en 2022. Il se forme depuis 2015 auprès de la soprano Sophie Hervé et rejoint la Maîtrise de Notre-Dame de Paris dirigée par Lionel Sow où il participe aux masterclasses d’artistes comme Margreet Hönig, Anne le Bozec, Semjon Skigin.
Il poursuit actuellement sa formation en suivant plusieurs masterclasses, notamment celles de Paul Agnew, Philippe Jaroussky, Mariame Clément, Emmanuel Olivier et Benoît Bénichou.
En février 2023 il crée le rôle de Narcis dans l'opéra Truth is a four letter word, une création composée par Fred Frith au Lieu Unique de Nantes et à la MAC Créteil. En 2022 il est Ottone dans l'Incoronazione di Poppea de Claudio Monteverdi, dans une production de l'Académie de l'Opéra de Paris, dirigée par Vincent Dumestre et mise en scène par Alain Françon au théâtre de l'Athénée et au Grand théâtre de Dijon. Il fait ses débuts à la Philharmonie de Paris en 2021 en tant que soliste et récitant dans un projet sur la musique de Peer Gynt d’Edward Grieg. Il est l’Enchanteresse de Didon et Énée d’Henry Purcell au Grand Théâtre de Tours dirigé par François Bazola. Cette saison, il on a pu l'entendre dans le rôle du Pastorello dans Tosca de Puccini à l’Opéra de Montpellier sous la direction de Michael Schonwandt. Léopold est également invité régulièrement par l'Opéra de Massy pour participer à plusieurs projets de récitals et productions. (Récital Mozart ; Féminin/Masculin ; Mozart, ça va vous chante ? et Offenbach, le bus opérette).
Très attaché à défendre le répertoire contemporain, il crée et enregistre en 2021 la pièce Tombeau de Gesualdo de Denis Levaillant, pour contre-ténor et douze voix sous la direction de Roland Hayrabedian avec l’ensemble Musicatreize. Passionné par le répertoire sacré, il a l’occasion d’interpréter à la salle Bourgie de Montréal un programme varié d’airs de cantates de Jean-Sébastien Bach avec l’ensemble la Chapelle Rhénane, dirigé par Benoit Haller.
Léo REYMANN, soliste, ténor (airs).
C’est dès le plus jeune âge que Léo Reymann se passionne pour la musique ; d’abord avec les instruments à vent puis le piano. Léo commence ensuite en 2014 le chant au conservatoire de Nancy et une licence de musicologie à l’université de Lorraine. A l’issue de ce cursus universitaire, il est admis en 2017 au Centre de musique baroque de Versailles, formation qui lui permet de faire ses premières productions dans un cadre professionnel et avec de grands ensembles de musique
ancienne tels que Les Talents Lyriques (dir. C.Rousset), le Gabrielli Consort (dir. P.McCreesh), l’ensemble Les Surprises (dir. L-N.Bestion de Camboulas) et bien d’autres.
En 2020, Léo commence à se perfectionner au conservatoire de Versailles dans la classe de Céline Laly. D’autre part, il commence à se produire avec de nombreux ensembles spécialisés dans la musique baroque comme l’Ensemble Marguerite Louise (dir. G.Jarry), Le Poème Harmonique (dir. V.Dumestre), Les Epopées (dir. S.Fuget) et bien d’autres.
Il s’illustre aussi en solo dans des cadres variés, étant autant attiré par la scène que par le répertoire sacré qu’il a beaucoup abordé avec sa formation. En 2021 il chante le rôle d’Uriel dans La Création de J.Haydn avec le choeur de Ville d’Avray ; en 2022 collabore avec le CMA-Paris-XIIIe et son professeur Karine Godefroy pour chanter sur scène les rôles de la théière, l’arithmétique et la rainette dans L’Enfant et les sortilèges de Ravel ; et en 2023, pour conclure ses études il chante sur scène le prince charmant dans Cendrillon de Massenet dans un projet mené par le conservatoire de Versailles et la Compagnie Les Mauvais élèves.
Léo Reymann continue aujourd’hui de se perfectionner et essaye de conserver la plus grande variété dans les répertoires qu’il aborde.
Thierry CARTIER, basse (Pilate et airs).
C'est en intégrant le chœur Sinfonia, dirigé par Michel Laplénie, que Thierry Cartier aborde l'univers du chant et de la musique baroque, lors de ses années de lycée à Périgueux. Il intègre ensuite le Conservatoire de Bordeaux pour y apprendre la technique vocale en suivant le cursus de chant lyrique pendant deux ans, de 2015 à 2017. C'est l'occasion pour lui de développer sa voix au contact des répertoires classiques et romantiques, en passant par le lied et la mélodie française. En juin 2017, il est admis dans la formation supérieure des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles, dans laquelle il passera trois ans jusqu'à l'obtention de son Diplôme d'Etudes Musicales.
Ce cursus lui permet de se spécialiser dans le répertoire de la musique baroque française, grâce aux cours stylistiques qui y sont dispensés : déclamation, ornementation, diminution, basse continue, pratique du chant soliste et choriste le façonnent aux spécificités de ce répertoire. C'est l'occasion pour lui de participer également à des productions mêlant les Chantres à des ensembles professionnels de musique ancienne comme Les Talens Lyriques, Les Folies Françoises, le Gabrieli Consort, La Rêveuse ou encore Les Surprises.
C'est lors de sa dernière année au Centre de Musique Baroque de Versailles que Thierry commence à travailler avec des ensembles de musique baroque tels que Correspondances, Les Epopées, Marguerite Louise, Les Arts Florissants, Les Surprises, ou encore l'ensemble Jacques Moderne. Il collabore également avec le Centre de Musique Baroque de Versailles sous la direction d'Olivier Schneebeli pour l'enregistrement de motets de Pierre Robert en 2020 ainsi que sur la production de David et Jonathas de Charpentier en 2021, également comme soliste.
En 2023, il tient les rôles de Thierry et du deuxième Commissaire dans les Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc à l'opéra de Bordeaux, et il participe à la création de l'ensemble l'Assemblée aux côtés de Marie van Rhijn et de Cyril Auvity.
Arnaud RICHARD, soliste, basse.
Le baryton-basse français Arnaud RICHARD obtient en 2000 le prix d’excellence du CNR de Caen. En 2006 il reçoit le deuxième prix de mélodie au concours international de Marmande. Depuis il s’est fait un nom dans divers répertoires. Notons parmi les rencontres qui ont marqué son parcours professionnel celles avec Teodor Currentzis sous lequel il chante le rôle titre dans Didon et Aeneas et participe à l’enregistrement du Requiem de Mozart (basse solo), Sylvain Cambreling qui le dirige dans L’Ecume des jours (Nicolas) d'Edison Denisov à l’Opéra de Stuttgart et William Christie qui l’invite à se produire dans Atys, Monsieur de Pourceaugnac, Rameau Maître à danser et David et Jonathas (Saül) de M.A. Charpentier au Festival d'Aix-en-Provence. Il participe aussi à plusieurs productions avec les Talens lyriques sous la baguette de Christophe Rousset, notamment dans La Divisione del mondo (Saturno) de Giovanni Legrenzi à l’ONR Strasbourg, l’Opéra de Lorraine Nancy et en concert à la Philharmonie de Cologne ainsi que dans Agrippina (Claudio) de Haendel aux Festivals de Halle et de Dortmund. Sur invitation du chef d'orchestre François-Xavier Roth, Arnaud Richard se produit dans l’Enfance du Christ (Hérode) de Berlioz à la Cathédrale de Cologne.
Dernièrement il a chanté à l'Opéra Comique aux côtés de Raphaël Pichon et l'Orchestre Pygmalion dans Hippolyte et Aricie (Neptune et Pluton) ainsi que dans Roméo et Juliette de Gounod (Pâris). On le retrouve avec l'Orchestre de Paris lors des représentations concertantes de Penthesilea (Messager/Bote) de Pascal Dusapin à la Philharmonie de Paris. Au théâtre de Caen il crée le rôle principal et exigeant de l'œuvre de Martin Matalon Celui qui dit non puis il regagne l'ONR Strasbourg où il chante le rôle de Melisso dans Alcina.
Il chantera prochainement à l’opera de Nice dans les Mamelles de Tiresias de Poulenc et le Rossignol de Stravinsky.
Capinghem souhaite inscrire son projet en faisant intervenir différents acteurs et services, en vue de favoriser l’accès à la culture.
Service Enfance et Jeunesse
La semaine du concert, il s’agit de mettre à l’honneur l’univers baroque : fabrication de masques et costumes, sensibiliser le jeune public à la découverte des instruments anciens, du chant baroque et des œuvres de BACH (atelier assuré par Michel LAPLÉNIE et des musiciens et choristes de l’ensemble Le Cénacleà Pérenchies, le jour du concert) en mobilisant le Service Enfance de Capinghem.
Personnes fragilisées
Le jour du concert, favoriser le déplacement des personnes âgées et personnes à mobilité réduite par la mise en place d’une navette entre Capinghem et Pérenchies. Promouvoir également cet aspect dans une démarche écocitoyenne dans le cadre de la réduction de l’impact carbone.
CCAS
Promouvoir la gratuité des places du concert pour les personnes à mobilité réduite et fragilisées et leur proposer des activités pédagogiques autour de l’intermittence du spectacle.
Il est proposé un contrat de cession via une association porteuse de projets qui se chargera des démarches administratives, notamment la déclaration des artistes et fiches de paie.
L’association en question est LYRICA : ASSOCIATION LYRIQUE DES HAUTS DE FRANCE, située 1355 rue d’Ypres, 59118 WAMBRECHIES, créée le 22 janvier 2019.
Voici son objet :
Cette activité prendra autant la forme d'aide à la création d'ensembles musicaux que la production de projets audio visuels liés à l'art lyrique, développer des coopérations entre des opérateurs culturels de la Région Hauts de France et d'autres territoires en Europe et dans le Monde.
Le montant n’est pas assujetti à la TVA (article 279.b.bis du Code général des impôts).
Montant de l’atelier pédagogique le 07 avril 2024 : 1 295 euros.
Soit un total de 24 395 euros.
Dans un contexte de difficultés structurelles des collectivités pour trouver des financements, et de dépendances au secteur bancaire et aux marchés financiers, la commune de Capinghem a décidé de mettre en place le mécénat d’entreprise. Le mécénat consiste à apporter un soutien par une entreprise à un bénéfice d'intérêt général, comme une collectivité territoriale avec des contreparties de communication qui sont de plusieurs ordres :
Si vous êtes une entreprise et souhaitez soutenir ce projet exceptionnel, n’hésitez pas à contacter :